mercredi 13 février 2013

0 LA FRANCE "FILLE AINÉE DE L’ÉGLISE" PARLE A L’ÉGLISE DES CROYANTS, par le chef de la Maison de France



Le Christ, à trente trois ans,offrait, consciemment, en dépit des angoisses et des doutes bien humains qui ne pouvaient que l’assaillir, offrait ses souffrances et son martyr pour la rédemption de toute l’humanité, passée, présente et future.

Il nous remet en mémoire, par le truchement des Papes et de Son Eglise la fabuleuse épopée de l’âme qui doit se régénérer sans cesse dans la Foi et l’Espérance.
Serions nous en chute libre vers la géhenne pour abandonner ce fabuleux enjeu alors que l’ouragan se déchaîne ? Lorsque le berger délaisse son troupeau en pleine tourmente il assume le risque de l’abandonner aux prédateurs. Pourtant les croyants, quelque soit leur foi, ne sont pas des moutons dans la profondeur de leur responsabilité individuelle ou collective. Les religions monothéistes ont en commun le devoir de vivre sa foi dans l’amour du prochain et dans la paix.
Rome n’est pas seulement un pouvoir temporel. Le successeur de Saint Pierre demeure aussi et doit demeurer dans l’infini du spirituel en dépit des attaques, des secousses et des pièges tendus. La grâce d’Etat et la puissance de l’Esprit Paraclet sont toujours présents dans les moments de doutes et de souffrances que traverse le monde comme l’individu. La souffrance et le doute ne devraient pas atteindre la personne du Saint Père. Le Vent Paraclet est son sceptre et sa bannière, il est également sa force. N’oublions jamais " paix aux hommes de bonne volonté" et ne permettons pas aux ténèbres de recouvrir la Terre.
Henri Comte de Paris Duc de France - IMRF

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