vendredi 7 juin 2013

0 Et maintenant, QUE FAIRE ?


On l’a dit, le combat mené par la France des valeurs contre le mariage homosexuel révèle une vivacité et un esprit de résistance d’une bonne partie de la jeunesse de notre pays et plus largement des familles, ce qui en fait une mobilisation pluri générationnelle.

La répression sauvage qui s’est abattue sur ces français habituellement silencieux révèle, non seulement l’importance des enjeux par la force de la mobilisation d’une France décomplexée mais encore le trouble de nos adversaires jamais avares de formules assassines qui ont déversés par la force des matraques et par des propos sur les réseaux sociaux et autres médias, un torrent hallucinant de haine et de ressentiment, ce qui laisse augurer de l’ambiance des prochains mois.
Bien sûr, il ne faut rien lâcher, mais il faudra faire preuve à l’avenir d’imagination et de créativité pour organiser la résistance dans tout le pays. Le « Printemps Français » est un exemple, mais il existe de nombreuses organisations, comme les veilleurs, les mères veilleuses, mais aussi les mouvements et groupes patriotiques que l’on voit renaissants aujourd’hui, des associations laïques et confessionnelles, lesquels semblent converger vers le même but : Combattre le totalitarisme rampant et redresser le pays par la primauté des valeurs constitutives de l’humain.
De l’autre côté la révolution semble avoir repris son cours. Tous les voyants sont au rouge : Sectarisme et autoritarisme d’état, Idéologies de la déconstruction dans nos écoles primaires, voire maternelles, poursuite accélérée du « grand remplacement » dénoncé par Renaud Camus, dans un pays qui atteint un taux de chômage record, renonciation à la souveraineté monétaire, économique et politique pour sans doute mieux se consacrer à l’application d’une idéologie suicidaire, stigmatisation outrancière des oppositions, refus du dialogue.
Face à cela, le pays doit entrer en résistance, mot qui fait bien sûr horreur à notre président normal, comme à quelques évêques toujours en retard d’une guerre.
Alors que l’on nous rebat les oreilles avec la démocratie, on refuse une demande de référendum avec 700 000 signatures et on fait voter à marche forcée par un parlement désormais minoritaire en termes de réelle représentativité et en dépit de manifestations monstres, des lois qui s’en prennent aux fondements de notre société.
Nos sectateurs ne voient toujours pas qu’ils ont réveillé une force française qui coulait comme la lave dans les profondeurs de la terre et qui pourrait bien se muer en volcan furieux. Avec les cadres de l’AF d’abord, et nos partenaires les plus constructifs ensuite, nous allons proposer une réflexion cet été et à la rentrée, dans la perspective d’une mise en place d’un dispositif capable de fédérer cette force.
Un genre de « conseil national de la résistance » s’appuyant sur la révolte spontanée de ceux qui sont le sel de la terre de France.
La république se meurt d’avoir renié la France, débranchons les tuyaux.
Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française

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