Sous la présidence de SAR le prince Sixte Henri de Bourbon-Parme, avec :
Somar Al Assad, Géopoliticien, cousin du Président syrien Bachar Al Assad,
Michèle Guillaume-Hofnung, professeur à l’Université de Paris XI, médiatrice.
Elie Hatem, avocat à la cour, enseignant à la faculté libre de droit, d’économie de Paris, membre du comité directeur de l’Action française,...
Somar Al Assad, Géopoliticien, cousin du Président syrien Bachar Al Assad,
Michèle Guillaume-Hofnung, professeur à l’Université de Paris XI, médiatrice.
Elie Hatem, avocat à la cour, enseignant à la faculté libre de droit, d’économie de Paris, membre du comité directeur de l’Action française,...
- Anne –Marie Lizin, présidente d’honneur du Sénat de Belgique et vice-
présidente de l’Assemblée plénière de l’OSCE
Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française.
Philippe de Saint Robert, écrivain, ancien Commissaire Général à la langue française.
Gérard de Villiers, écrivain et journaliste.
Ingérence et Politique étrangère : Où va la République ?
La France n’a plus de politique étrangère. Celle-ci est dictée par les maîtres de l’Empire auxquels nos dirigeants on fait allégeance depuis longtemps avec une accélération spectaculaire en matière de veulerie depuis Sarkozy et peut-être un degré supplémentaire encore avec Hollande.
La justification de l’intervention de la France au Mali est symptomatique de l’état d’esprit qui préside à cette décision.
Selon le « président normal » ce n’est pas pour les intérêts fondamentaux de la France que nous envoyons nos soldats, mais pour sauver la démocratie (au Mali ?) et le peuple malien.
Défendre les intérêts fondamentaux de la France devient honteux. L’élu des Français indique ainsi à son peuple qu’il n’est pas là pour défendre ses intérêts, mais la démocratie dans le monde, c’est du reste la feuille de route donnée au ministre des Affaires étrangères.
Ainsi nos dirigeants ne réagissent-ils plus qu’aux coups de sifflet des leaders du mondialisme libéral.
La tentative de mise à mort internationale de la Syrie à laquelle la République française apporte sa contribution en est la démonstration la plus éclatante.
VENEZ NOMBREUX
Samedi 19 janvier 2013, de 14h 30 à 18h00 sur la péniche : « le Blues Café », Quai de Bercy Aval (rive droite)-75012 Paris
Tarif normal 5€. Etudiants, Lycéens, chômeurs : 2€
Parking à proximité, station RER : gare de Lyon/métro :Bercy_ au pied du pont de Bercy, en face du ministère des finances.
Olivier Perceval, Secrétaire Général de l’Action française.
Philippe de Saint Robert, écrivain, ancien Commissaire Général à la langue française.
Gérard de Villiers, écrivain et journaliste.
Ingérence et Politique étrangère : Où va la République ?
La France n’a plus de politique étrangère. Celle-ci est dictée par les maîtres de l’Empire auxquels nos dirigeants on fait allégeance depuis longtemps avec une accélération spectaculaire en matière de veulerie depuis Sarkozy et peut-être un degré supplémentaire encore avec Hollande.
La justification de l’intervention de la France au Mali est symptomatique de l’état d’esprit qui préside à cette décision.
Selon le « président normal » ce n’est pas pour les intérêts fondamentaux de la France que nous envoyons nos soldats, mais pour sauver la démocratie (au Mali ?) et le peuple malien.
Défendre les intérêts fondamentaux de la France devient honteux. L’élu des Français indique ainsi à son peuple qu’il n’est pas là pour défendre ses intérêts, mais la démocratie dans le monde, c’est du reste la feuille de route donnée au ministre des Affaires étrangères.
Ainsi nos dirigeants ne réagissent-ils plus qu’aux coups de sifflet des leaders du mondialisme libéral.
La tentative de mise à mort internationale de la Syrie à laquelle la République française apporte sa contribution en est la démonstration la plus éclatante.
VENEZ NOMBREUX
Samedi 19 janvier 2013, de 14h 30 à 18h00 sur la péniche : « le Blues Café », Quai de Bercy Aval (rive droite)-75012 Paris
Tarif normal 5€. Etudiants, Lycéens, chômeurs : 2€
Parking à proximité, station RER : gare de Lyon/métro :Bercy_ au pied du pont de Bercy, en face du ministère des finances.
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