Les mots les plus durs et souvent
inadaptés, prononcés notamment par François Hollande lui-même lors de
son discours devant le parlement algérien le 20 décembre dernier, ont
ravivé les passions et provoqué certains débordement verbaux.
Dans le but de mieux apprécier les retombées de
ce discours et sans vouloir attiser la polémique surgie, Polémia a
relevé sur le site suisse Commentaires.com un article sous la signature
de Philippe Barraud qui, au delà des échanges passionnés
franco-français, donne une analyse, froide mais argumentée, que nous
soumettons à nos lecteurs. Une vision depuis l’étranger est souvent
positive.
Polémia.
M. François Hollande, venu faire acte de repentance devant un pouvoir non-démocratique en Algérie, a contribué au déclin de la France. C’était le énième avatar du « sanglot de l’homme blanc », prêt à sacrifier ses valeurs et sa civilisation sur l’autel de la culpabilité.
Tout le monde y a pensé, mais personne n’a osé l’exprimer : l’Algérie est un pays autoritaire qui méprise les droits de l’homme et en particulier ceux des femmes, où les libertés sont une chimère, où l’économie est en ruine depuis un demi-siècle malgré une manne pétrolière dont on ne sait pas à qui elle profite. Et pourtant, le président de la France vient courber la tête devant un tel pouvoir. Mais bien sûr, dans l’esprit de l’homme blanc repentant façon Hollande, cette situation est la conséquence directe de la colonisation. [...]
Philippe Barraud - La suite sur Polémia
M. François Hollande, venu faire acte de repentance devant un pouvoir non-démocratique en Algérie, a contribué au déclin de la France. C’était le énième avatar du « sanglot de l’homme blanc », prêt à sacrifier ses valeurs et sa civilisation sur l’autel de la culpabilité.
Tout le monde y a pensé, mais personne n’a osé l’exprimer : l’Algérie est un pays autoritaire qui méprise les droits de l’homme et en particulier ceux des femmes, où les libertés sont une chimère, où l’économie est en ruine depuis un demi-siècle malgré une manne pétrolière dont on ne sait pas à qui elle profite. Et pourtant, le président de la France vient courber la tête devant un tel pouvoir. Mais bien sûr, dans l’esprit de l’homme blanc repentant façon Hollande, cette situation est la conséquence directe de la colonisation. [...]
Philippe Barraud - La suite sur Polémia
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire