“Ceux qui seraient tentés de céder au découragement doivent
penser que rien de ce qui est accompli dans cet ordre ne peut jamais
être perdu, que le désordre, l’erreur et l’obscurité ne peuvent
l’emporter qu’en apparence et d’une façon toute momentanée, que tous les
déséquilibres partiels et transitoires doivent nécessairement concourir
au grand équilibre total, et que rien ne saurait prévaloir finalement
contre la puissance de la vérité ; leur devise doit être celle
qu’avaient adoptée autrefois certaines organisations initiatiques de
l’Occident : Vincit omnia Veritas.”
René GUENON, La crise du monde moderne , 1946
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