Interrogée ce matin dans le journal Sud-Ouest, celle-ci se déclare « abasourdie par ce que je vois en banlieue ». Semblant découvrir l’étendue des problèmes qui minent nos centres urbains, Naïma Charaï souhaite alerter l’opinion publique « sur la question de la laïcité, par exemple lorsqu’un préfet m’indique que des fillettes de 7 ou 8 ans portent parfois le voile, que des enfants boycottent la cantine parce qu’elle n’est pas halal. Ce sont des choses que l’on ne voyait pas il y a vingt ans ».
lundi 18 février 2013
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