samedi 22 juin 2013

0 Communiqué de l’Action française : Nicolas, prisonnier politique


Quand le sectarisme le dispute à la haine.

On ne cesse de le répéter, nous sommes sous le joug d’un Etat totalitaire qui utilise la justice comme une arme de répression. Il ne suffisait pas que les « inspecteurs la bavure » sévissent sur nos trottoirs matraquant et gazant tout ce qui de près ou de loin ressemble à un manifestant anti-Taubira.
Maintenant on est passé au degré supérieur : vous êtes patriote, vous êtes catholique, ? Allez tout droit en prison sans passer par la case départ.
La justice, comme son nom l’indique, est censée analyser les situations, examiner le contexte, être juste quoi.
Non, naïfs que vous êtes, ça c’est fini, c’était avant.
Le changement c’est maintenant.
Nicolas, jeune homme de 24 ans en marge de la manif devant les locaux de M6, sans casier judiciaire, a eu le malheur de prendre la fuite devant une dizaine de flics (en civil) armés de « tazer » et de matraques, et de se réfugier dans un restaurant. Il a été frappé à terre devant les clients de l’établissement horrifiés.
Comme il fallait justifier une telle violence complètement gratuite, il a été déféré, jugé et immédiatement incarcéré. Deux mois de prison ferme et une amende.
Tandis que pratiquement dans le même temps, la bande qui a attaqué le RER D et dévalisé les voyageurs est relaxée.
Si on ne voit pas que notre justice s’intéresse plus au délit d’opinion qu’à la délinquance crapuleuse, que notre république a remplacé nos juges par des accusateurs publics, c’est que ce régime de terreur a déjà fait son œuvre dans les esprits, devenus lâches, résignés ou contaminés par la haine distillée par le pays légal contre les Français sans doute jugés trop honnêtes pour être honnêtes.
Désormais, les choses sont claires. Il n’y a plus d’Etat, plus de justice, une police de « tontons Macoutes ». On n’attend plus que Duvalier pour oindre notre président normal.
Nous disions résistance et on nous disait outranciers.
Les donneurs de leçon, méprisants et/ou bigleux ne voient pas plus loin que leur assiette de « fastfood »
Mais, qu’on me permette cette échappée grandiloquente, ils ne voient pas « le vol noir du corbeau sur nos plaines », ils n’entendent pas « le cri sourd du pays qu’on enchaîne ».
Cela veut dire, petit père, que nous sommes appelés à résister et, de fait, dans une certaine radicalité, puisque le pouvoir use de la force sans modération, comme ferait une armée d’occupation si elle avait à mater les plus dangereux : ceux qui défendent les valeurs constitutives de la patrie.
Alors debout armée de l’ombre, apprêtons nous au combat, sans arme, puisque nous avons choisi la non-violence, mais sans faiblesse.
On ne lâche rien.
Le Centre Royaliste d’Action Française

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