Une sorte d’euphorie a régné en fin
d’année dans le gouvernement et les milieux politiques dirigeants.
Malgré tous les couacs intergouvernementaux, malgré le chômage galopant,
la baisse et l’arrêt d’activités en tous domaines, la vie politique
continue, elle prospère, à gauche et à droite, et François Hollande
poursuit son programme imperturbablement.
Il croit dans son étoile. En fait, les ténèbres s’épaississent. Où donc est la lumière ?
Que veut-on ? Des bonnes nouvelles ? En voilà à la pelle. Le président de la République et le gouvernement en sont prodigues. à les en croire, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Rien n’arrête l’optimisme de nos gouvernants.
La peur financière, encore si prégnante ces derniers mois, s’éloigne. François Hollande l’a répété à Bruxelles, à Oslo ; il le redit sans cesse : la crise est derrière nous et la croissance, grâce à lui, grâce à ses justes orientations, est devant nous. Reste à la mettre en musique : en créant l’union bancaire, en consolidant les dettes, en les mutualisant, en renforçant les organes de contrôle bancaire et budgétaire aux niveaux européen et national, en surveillant la finance, en assagissant les banques, en demandant aux riches leur quote-part de richesse, cette juste surtaxe qu’ils doivent à la société, en amorçant par de judicieux investissements européens et nationaux la relance de l’économie, en mettant en place les institutions financières adaptées, MES, BPI, etc, en évitant les conflits et les heurts inutiles, en ramenant la confiance, bref en jouant le jeu de la sortie de crise. à force d’y croire, le salut viendra. Hollande s’en porte garant.
Hollande l’Algérien
Ne vient-il pas de l’annoncer en Algérie, sa terre de prédilection ? [...]
La suite sur Politique Magazine
Que veut-on ? Des bonnes nouvelles ? En voilà à la pelle. Le président de la République et le gouvernement en sont prodigues. à les en croire, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Rien n’arrête l’optimisme de nos gouvernants.
La peur financière, encore si prégnante ces derniers mois, s’éloigne. François Hollande l’a répété à Bruxelles, à Oslo ; il le redit sans cesse : la crise est derrière nous et la croissance, grâce à lui, grâce à ses justes orientations, est devant nous. Reste à la mettre en musique : en créant l’union bancaire, en consolidant les dettes, en les mutualisant, en renforçant les organes de contrôle bancaire et budgétaire aux niveaux européen et national, en surveillant la finance, en assagissant les banques, en demandant aux riches leur quote-part de richesse, cette juste surtaxe qu’ils doivent à la société, en amorçant par de judicieux investissements européens et nationaux la relance de l’économie, en mettant en place les institutions financières adaptées, MES, BPI, etc, en évitant les conflits et les heurts inutiles, en ramenant la confiance, bref en jouant le jeu de la sortie de crise. à force d’y croire, le salut viendra. Hollande s’en porte garant.
Hollande l’Algérien
Ne vient-il pas de l’annoncer en Algérie, sa terre de prédilection ? [...]
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