Le ministère de l’Education nationale
s’apprête à lancer un groupe de travail pour rendre effectives les
« séances d’éducation à la sexualité », inscrites dans le Code de
l’éducation depuis 2001.
Un chef d’établissement, deux professeurs de
sciences de la vie et de la terre (SVT), un professeur des écoles, une
infirmière scolaire, un pédopsychiatre, les fédérations de parents, des
associations telles que SOS-homophobie et le planning familial sont les
membres de ce groupe. L’article 22 de la loi du 4 juillet 2001 relative à
l’avortement précise qu’
« Une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles et par groupes d’âge homogène. »
En 2003, une circulaire précise que cette éducation répond à la fois à des questions de santé publique et à des
« problématiques concernant les relations entre garçons et filles, les violences sexuelles, la pornographie ou encore la lutte contre les préjugés sexistes ou homophobes »
Le Salon Beige
« Une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles et par groupes d’âge homogène. »
En 2003, une circulaire précise que cette éducation répond à la fois à des questions de santé publique et à des
« problématiques concernant les relations entre garçons et filles, les violences sexuelles, la pornographie ou encore la lutte contre les préjugés sexistes ou homophobes »
Le Salon Beige