Analyse de Bernard Lugan (17 décembre 2012)
Les 19 et 20 décembre, accompagné de huit ministres et de l’incontournable Benjamin Stora, François Hollande effectuera un voyage officiel en Algérie.
Les 19 et 20 décembre, accompagné de huit ministres et de l’incontournable Benjamin Stora, François Hollande effectuera un voyage officiel en Algérie.
Deux mois après avoir rendu un scandaleux hommage aux prétendues « victimes » d’une manifestation interdite qui, le 17 octobre 1961, et alors que la France était en guerre, tentèrent un coup de force en plein Paris, saura t-il se comporter en chef de l’Etat et non plus en militant sectaire ? Nous le saurons sous peu.
Au Maghreb, la France avait deux alliés historiques, le Maroc et la Tunisie, et un partenaire, l’Algérie, avec lequel les rapports sont à la fois compliqués et complexes. La Tunisie étant désormais hors jeu, le dernier véritable ami régional de la France est donc le Maroc. Le voyage du président français va-t-il être une opération de bascule au profit de l’Algérie ou un simple rééquilibrage dans les relations entre Paris, Rabat et Alger ? Au-delà des polémiques et de la guerre des mémoires, où en sont les relations entre la France et l’Algérie ? Peuvent-elles être influencées par le voyage présidentiel ?
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